Richesses de la basilique

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Les vitraux

Jacques Guilchet, une personnalité de la culture locale a rédigé les descriptions des vitraux de la Basilique Notre Dame de Paradis.

Cliquez sur le vitrail pour découvrir sa description

Le mobilier de la basilique

Description du mobilier liturgique du chœur de la basilique
par son concepteur, l’ébéniste hennebontais, Jean-Noël Robic

L’autel

Le ciel et la terre : La naissance du projet de l’autel se compose d’un simple rectangle et repose sur une Âme qui se caractérise par deux arcs de cercle. Cette Âme, plus bienveillante que le plateau marque la nécessité de sortir de nos limites humaines afin d’atteindre l’ultime récompense : la rencontre, la connexion.

Ce volume imposant de face reste toutefois léger à son approche. Il symbolise intuitivement la barque, l’idée de voyage intérieur indispensable à notre accord spirituel tel un message gravé sur la terre par les premiers chrétiens.

Les traits verticaux en inox poli évoquent la Sainte Trinité et rythment une présence clairvoyante, un lien entre le ciel et la terre afin de connaître la paix intérieure.

L’ambon

 «La parole :  les deux éléments de l’autel se décomposent, l’âme s’élève, la table de l’autel s’ouvre et se place verticalement entre deux corps symétriques. En façade, la feuille d’or exprime la lumière, l’espace central propose le silence à nos paroles. L’arrière de l’ambon mérite une attention religieuse, l’inox vertical et horizontal se croise discrètement…».

La croix

«La lumière : un plateau de chêne vertical marque l’histoire. Ce monolithe laisse apparaître un espace, une blessure… Derrière cette souffrance… La lumière, l’espoir, la renaissance… ».

La crédence

«L’attente : une ligne courbe et une ligne droite suffisent à agrémenter son rôle».

Le tabernacle

«La fragrance : Deux demi-sous volumes de l’autel, de dimensions différentes se révèlent. Deux portes en forme de pétales dorées accueillent l’essence divine. Les tiges centrales en inox encouragent l’élévation».

Autres mobiliers à découvrir

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L’orgue

La basilique est dotée d’un premier orgue construit en 1652 avec les contributions de certains paroissiens.
Le 19 octobre 1791, une tempête détruit complètement l’orgue. Les dégâts sont occasionnés par la chute d’une des pyramides en pierres de taille qui forment amortissement autour du clocher.
Fin mars 1793, l’orgue de la chapelle du couvent des Carmes est transféré notre Dame de paradis. Il connaît diverses réparations les dernières en raison de bombardements en 1943 et 1945,
En 1980 et 1981, les jeux les plus anciens de l’orgue ainsi que le buffet en bois sculpté, sont classés monuments historiques, par arrêtés ministériels. L’orgue repose sur une tribune en pierre blanche d’Angers fermée par une balustrade, en bois construite plus tardivement pour accueillir le premier orgue.

La chaire à prêcher

De style gothique elle est surmontée d’un dais très ajouré décoré de fleuron, d’arcs-boutants et de pinacles.
La voute de l’abat-voix aux arcs en bois naturel est colorée en bleu.
La balustrade de cette chaire octogonale possède, sur son panneau de façade, une niche pouvant recevoir une statue.
L’escalier à double rampe, condamnable par un pavillon présente des contremarches sculptées sur leur envers. La chaire a été entièrement restaurée en 2000.

Les bancs

Au nombre de 48, ils sont en chêne massifs (40 d’une longueur de 4 mètres et 8 d’une longueur de 1,60 mètres). Ils  datent de 1852 et sont fixés sur deux estrades, chacune étant d’une longueur de 15,5 mètres, disposées de part et d’autre de l’allée centrale de la nef. Les bancs ont fait l’objet d’une rénovation en 1999.au nombre de 48, ils sont en chêne massifs (40 d’une longueur de 4 mètres et 8 d’une longueur de 1,60 mètres). Ils  datent de 1852 et sont fixés sur deux estrades, chacune étant d’une longueur de 15,5 mètres, disposées de part et d’autre de l’allée centrale de la nef. Les bancs ont fait l’objet d’une rénovation en 1999.

Les confessionnaux

Ils ont été réalisés entre 1853 et 1858. Dans les années 1990, les six confessionnaux qui souffrent de l’humidité et du manque d’entretien sont restaurés à Brest.

Parcours du chemin de croix

Extrait du Bulletin paroissial de Notre-Dame de Paradis de janvier 1966

Comme il a été annoncé au premier dimanche de janvier, nous aurons un nouveau Chemin de Croix qui sera inauguré le dimanche 27 février à 14h.
Ce chemin de croix qui manquait à la Basilique depuis la guerre puisque les stations de l’ancien étaient ou complètement démolies ou très endommagées, sera par lui-même un nouvel ornement et un moyen de réaliser cette dévotion qui trouve sa place dans le Carême, les Vendredis et les autres jours de l’année.
Le nouveau Chemin de Croix sera en bronze avec personnages détachés. Il sera plus discret que l’ancien mais le surpassera en valeur artistique.

Extrait du Bulletin paroissial de Notre-Dame de Paradis de février 1966

Le dimanche 27 février a eu lieu l’érection du nouveau Chemin de Croix. Monsieur l’abbé B. Guyonvarch, aumônier à Lorient, a prêché le Chemin de Croix tandis que l’on plaçait les 14 stations que Monsieur le Curé avaient bénites.

Les paroissiens de Notre-Dame de Paradis ont répondu très favorablement aux sollicitations de leur Curé, l’abbé Riou, pour l’acquisition de ce chemin de croix de 14 stations en bronze doré, œuvre du sculpteur angevin René Gourdon (site https://renegourdon-artistesculpteur-siteofficiel.com/) et de la fonderie Chevillard d’Avrillé qui se consacre au travail des métaux nobles depuis 1850.
En ce début de 1966, les vitraux, détruits en 1944 pendant la seconde guerre mondiale, réalisés par Max Ingrand, financés grâce à la réattribution des « dommages de guerre » alloués à la ville d’Hennebont – ville martyre – venaient d’être tous mis en place.
L’érection de ce chemin de croix en février 1966 complétait cette longue rénovation entreprise pour redonner à la Basilique tout son éclat.

Parcours vidéo

Le statuaire

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L’orgue

La basilique est dotée d’un premier orgue construit en 1652 avec les contributions de certains paroissiens.
Le 19 octobre 1791, une tempête détruit complètement l’orgue. Les dégâts sont occasionnés par la chute d’une des pyramides en pierres de taille qui forment amortissement autour du clocher.
Fin mars 1793, l’orgue de la chapelle du couvent des Carmes est transféré notre Dame de paradis. Il connaît diverses réparations les dernières en raison de bombardements en 1943 et 1945,
En 1980 et 1981, les jeux les plus anciens de l’orgue ainsi que le buffet en bois sculpté, sont classés monuments historiques, par arrêtés ministériels. L’orgue repose sur une tribune en pierre blanche d’Angers fermée par une balustrade, en bois construite plus tardivement pour accueillir le premier orgue.

La chaire à prêcher

De style gothique elle est surmontée d’un dais très ajouré décoré de fleuron, d’arcs-boutants et de pinacles.
La voute de l’abat-voix aux arcs en bois naturel est colorée en bleu.
La balustrade de cette chaire octogonale possède, sur son panneau de façade, une niche pouvant recevoir une statue.
L’escalier à double rampe, condamnable par un pavillon présente des contremarches sculptées sur leur envers. La chaire a été entièrement restaurée en 2000.

Les bancs

Au nombre de 48, ils sont en chêne massifs (40 d’une longueur de 4 mètres et 8 d’une longueur de 1,60 mètres). Ils  datent de 1852 et sont fixés sur deux estrades, chacune étant d’une longueur de 15,5 mètres, disposées de part et d’autre de l’allée centrale de la nef. Les bancs ont fait l’objet d’une rénovation en 1999.au nombre de 48, ils sont en chêne massifs (40 d’une longueur de 4 mètres et 8 d’une longueur de 1,60 mètres). Ils  datent de 1852 et sont fixés sur deux estrades, chacune étant d’une longueur de 15,5 mètres, disposées de part et d’autre de l’allée centrale de la nef. Les bancs ont fait l’objet d’une rénovation en 1999.

Les confessionnaux

Ils ont été réalisés entre 1853 et 1858. Dans les années 1990, les six confessionnaux qui souffrent de l’humidité et du manque d’entretien sont restaurés à Brest.

Mais aussi …

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Les armoiries disparues du porche

Porté par l’École Pratique des Hautes Études et financé par la #DRACBretagne, #ARMMA – ARmorial Monumental du Moyen Âge – est un programme scientifique visant à la recension des décors héraldiques monumentaux au Moyen Âge. Alors que l’inventaire a déjà couvert le Poitou et se poursuit en Île-de-France, le projet s’est étendu à la Bretagne, où plusieurs dizaines de monuments font déjà fait l’objet de notices versées au sein d’une base de données en ligne.
Nouvelle vidéo sur la chaîne YouTube du service Valorisation du patrimoine de la Ville d’Hennebont où l’on évoque les armoiries disparues du porche de Notre-Dame-de-Paradis d’Hennebont.
Bon visionnage !

https://www.youtube.com/watch?v=2tG8nBwa7OE

Une plaque de dédicace en cuivre

Le Service Valorisation du patrimoine Hennebont a confectionné une vidéo.

Découvrez la sur https://youtu.be/kDXtp0Uu2oo